The main question that any introduction to law must answer deals with the nature of law. Although the need for the characterization of the nature of law is obvious, it is a need that is not easily satisfied. The law is multifaceted, and arguably has been in flux over the centuries. In this current age of globalization and Europeanization, it is changing at such a high speed that it is impossible to give a short definition of law from the outset.
- Enseignant: Noumo MANE
Le droit est une discipline dont la définition est malaisée; plusieurs acceptions sont proposées par les auteurs. L'accord s'est fait sur deux définitions cependant: le droit au sens de droit objectif et le droit au sens de droit subjectifs. Chacune de ces définitions du mot droit sera analysée. Les origines de ces notions ainsi que leur traduction dans la réalité des rapports sociaux seront également abordées.
- Enseignant: Moussa DIAWARA
Le présent cours traite des origines de l’Etat et comporte deux parties. La première se rapporte aux institutions de l’Egypte pharaonique et la seconde aux institutions romaines. En ce qui concerne l’Egypte, il est étudié le processus de fondation de l’Etat.
Concernant l’Etat romain, nous avons voulu suivre les grandes classifications du droit, en distinguant le droit public du droit privé.
- Enseignant: Béatrice KABOU
- Tuteur: Abdoulaye Diallo
Dans toutes les sociétés humaines modernes, il y a des institutions spécialement dédiées à dire le droit. Ces institutions dites « institutions judiciaires » sont conçues pour répondre à des besoins de justice des citoyens. Il s’agit d’offrir à ces derniers un voie par laquelle ils pourront régler leurs différents pacifiquement sans avoir recours à la vengeance privée.
Par cette voie, des personnes en conflit vont soumettre leur litige à une tierce personne, le juge, autorité étatique, chargée de dire le droit. Cette autorité va trancher le litige en départageant les parties.
Le juge indépendant et inamovible exerce son office dans une institution judiciaire qui peut être une cour ou un tribunal. Ces juridictions sont dispersées à travers l’étendue du territoire national. Si pour certaines d’entre elles la compétence est réduite à un espace réduit ou à un domaine bien déterminé, pour d’autres elle exercée sur un espace plus vaste (polarisation de plusieurs régions (Cours d’Appel) ou niveau national (Cour Suprême) ou communautaire (Cour Commune de justice et d'arbitrage)).
Aujourd’hui, l’office du juge n’est plus cantonné au niveau national, il peut avoir des prérogatives et des compétences au plan international et même communautaire. Ces dernières années beaucoup de conventions internationales concèdent de tels pouvoirs au juge. On a même assisté à la création de juridictions internationales (notamment en matière pénale) et communautaires
Cependant, le juge n’est pas le seul acteur intervenant en matière de justice. Il est aussi d’autres acteurs dits «auxiliaires de justice » qui interviennent aussi en concourant à la bonne de la justice. Il en est ainsi des avocats, des huissiers de justices, des notaires, des commissaires priseurs, des greffiers…
D’un autre point de vue, le juge est aujourd’hui concurrencé par d’autres acteurs relevant de la justice non étatique dite « justice douce ou privée ». De plus en plus, les parties en conflit se passent de lui pour saisir une terce personne privée. Cette personne peut soit un arbitre soit un médiateur soit un conciliateur.
- Enseignant: FODE DAVID FAYE
- Enseignant, Tuteur: Moussa NDIOR
- Enseignant: Khady DABO